Mon Premier Voyage De Femme « Libre »… 17° Partie

Pendant le trajet, je repensais à ma folie de l'après-midi. A la façon dont je m'étais faite embobinée par ce vendeur… charmant de surcroît et dont le plaisir qu'il m'avait donné me fait à nouveau crisper le bas du ventre…

Le chauffeur me sortit de mes rêveries érotiques..
"Voila ma petite dame. Nous sommes arrivés. Cela vous fait 25 euros."

Une fois sortie du véhicule, le taxi démarra sur les chapeaux de roue pour une nouvelle course.

Tout à coup, je me surpris de réagir face à l'incongruité de la situation… Seule dans cette rue face à un garage désert, dans ma petite robe blanche indécente…
Maintenant que j'y étais, je n'avais plus le choix. Je me dirigeais vers l'atelier dont la porte était entrouverte….
L'atelier semblait désert. Des bruits métalliques résonnaient quelque part. Je n'en menais pas large. Je m'avançais précautionneusement en espérant tomber rapidement sur Jeff… Je me dirigeais en direction des cliquetis… Ceux-ci semblaient provenir d'un recoin de l'atelier qui se trouvait à une quinzaine de mètres d'où je me trouvais.

Je continuais d'avancer lentement, quand tout à coup, je perçus derrière la cloison Jeff qui s'appliquait à nettoyer une mini noire et crème… Dès qu'il m'aperçut il se précipita dans ma direction. Je me dis en moi-même qu'il était vraiment un bel homme, tout en m'interrogeant comme d'habitude sur ce qui pouvait bien l'attirer chez moi.

Il ne me laissa pas le temps de gamberger. Il me prit dans ses bras en faisant bien attention de ne pas me salir et m'embrassa à pleine bouche. Quel coquin !!! Il a conscience de l'effet de son charme sur moi…

Il recula pour m'observer à nouveau : "Éva, tu es somptueuse. Cette robe te va à ravir."
"Je l'ai achetée en pensant à toi. J'ai utilisé une partie de l'argent que tu m'avais laissé l'autre soir pour l'acheter…"

"Alors, dis-moi pourquoi tu tenais tant à ce que je vienne te rejoindre ce soir dans ce garage ? Et c'est quoi c'est histoire de mini… ?"

"Éva, il faut que je te raconte… En fait, c'est un deal qui ne devrait pas te déplaire, toi qui es une femme hors norme…"
"Voilà, j'ai rapproché deux évènements afin de bénéficier d'une affaire".


"Cette mini a peu roulé et son propriétaire a oublié de mettre de l'huile dans le moteur et le moteur a serré".
"La femme est venue au garage pour en acheter une nouvelle et mon copain lui a racheté pour 1 500 euros."
"Parallèlement, une autre mini a été accidentée et a été totalement détruite. Elle était bonne pour la casse. Valeur zéro !! En revanche, son moteur est impeccable. Aussi, j'ai eu l'idée de remplacer le moteur défaillant par l'autre moteur." "Que penses-tu de mon initiative ?"

Jeff me prenait de cours. C'est sur que c'était tentant. Une superbe affaire.
"Viens voir." Il me prit la main pour me faire le tour du véhicule. Celui-ci était sur une fosse et les cliquetis semblaient provenir de dessous.
Jeff ouvrit la portière pour que je puisse m'asseoir à l'intérieur. Le coquin en profita pour me caresser les jambes. Sa main remonta pour investir mon sexe humide. Il porta ses doigts à son nez : "hum… je sens comme une odeur de sperme. Je me trompe ?"
Je me sentis rougir et mon refus de répondre fut bien compris comme un acquiescement par Jeff qui me gratifia de son plus beau sourire, si craquant, avant de revenir manger ma bouche.…

"Alors, elle te plait ?"
J'eus du mal à lui répondre. J'étais gênée…
"Oui, bien sûr, mais comment est-ce possible ? 1 500 euros, cela ne semble pas vrai !!"
"Tu as raison partiellement. Je ne t'ai pas tout dit..." me dit-il en me tendant la main pour que je sorte de la voiture.
"Viens avec moi." Je le suivis à l'avant du véhicule. Il me força à avancer les jambes écartées à cause de la fosse avant de me faire me cambrer et appuyer les mains sur le capot de la voiture.
Jeff était derrière moi. Il approcha sa bouche de mon oreille et repris son explication…
"Tu sais que tu es diablement indécente, ainsi, les cuisses écartées…"
"Imagine qu'un mécanicien te surprenne par-dessous. Qu'est-ce qu'il verrait ?"
Instinctivement, je me surpris à vouloir refermer mes cuisses, mais la position rendait impossible mon mouvement.


"Voilà, je t'ai parlé du rôle que j'avais joué pour réaliser cette aubaine. En revanche, il y a une deuxième partie du contrat dont je ne t'ai pas parlé… La voiture ne va pas pouvoir se réparer toute seule. Il y a de la main d'œuvre et le coût horaire d'un mécanicien, cela coûte les yeux de la tête…
Aussi j'ai proposé à deux jeunes mécanos de te faire gratuitement les travaux. En contrepartie, ils pourraient s'offrir ton corps pendant une heure. Et ils ont accepté."

J'étais ahurie. Qu'est-ce que ça voulait dire ? Pour qui me prenait-il ? Bien sûr que sa mini me faisait envie, mais pas à n'importe quel prix. Je ne suis pas une pute !!! Une sombre colère m'envahit et quand je voulus me dégager, je me suis aperçue que j'étais prise au piège. Jeff me bloquait.
"Tu te rends compte, ce que tu me demandes. Tu es fou Jeff !! Comment as-tu pensé que j'accepterais ?"

"Calme toi ma petite Éva. Tu vas voir, tu vas adorer. Ces mécaniciens sont jeunes et beaux. Je les ai choisis pour toi, en pensant à toi, à ton fantasme des mécanos…. Je bande depuis 2 jours rien qu'à cette idée. Je vais te regarder jouir. Je vais me masturber en te regardant prendre du plaisir. Ne crains rien, je suis là."

Sentir Jeff derrière moi aussi tendre et excité me fit fondre. Je craquais. Il avait gagné. Je sentais son souffle dans le cou.
Tout à coup, je sentis qu'une main me caressait la jambe. Un mécano se trouvait dans la fosse. Quelle belle vue il devait avoir. Et moi qui mouillais comme une folle. Et cette queue de Jeff contre mes fesses. J'étais perdue.
Une deuxième main se posa sur ma jambe nue… J'étais tétanisée…
Je me résolus à fermer les yeux pour me concentrer sur les sensations…. Celles-ci m'envahirent totalement. Les caresses sur mes jambes, le souffle de Jeff dans ma nuque, son sexe raide contre mes fesses. L'odeur de la graisse est maintenant omniprésente dans mon cerveau. Je me sens défaillir. Comment vais-je vivre mon fantasme que j'ai si longtemps attendu… ?

Les mains remontent le long de mes jambes.
Mon ventre se contracte. J'ai peur et j'ai envie. Je bouillonne. Je ne me sens plus qu'un sexe à fleur de peau. Je suis électrique…

Jeff me caresse les seins. Il me pince mes tétons : une douleur intense et forte sexuellement à la fois …
Je tente d'ouvrir les yeux. J'aperçois 2 bras qui sortent de la fosse. Des mains plus foncées que ma peau, des bras recouverts du bleu d'une combinaison de mécano. Une chose me fait réagir… Les mains sont foncées car elles sont recouvertes de graisse. Mes jambes sont déjà gainées de graisse. Dans quel état vais-je sortir d'ici ?

Les mains continuent de remonter. Elles atteignent maintenant mes cuisses. Je sens Jeff qui se décolle de moi, pour aussitôt sentir un autre corps, plus grand qui vient se plaquer contre moi. Les mains de l'autre mécanicien s'emparent de mes hanches. Ma petite robe blanche est maculée de graisse… Je referme les yeux… Je sens les mains du bas qui arrivent à ma vulve. Et le fin tissu de ma robe qui se soulève sous les caresses du second mécano. Ses mains se sont emparées de mes seins. Je sens son souffle dans mon cou. Je suis troublée. Je suis perdue. Je suis emportée par une multitude des sensations…
Quand j'ouvre les yeux, je découvre Jeff qui est assis dans la voiture. Il caresse son sexe tout dur par l'excitation de la scène.
Dans le reflet du pare-brise je perçois mon mécanicien qui est bien plus grand que moi.

Maintenant les mains du mécanicien d'en bas ont pris totalement possession de mon sexe. Je sens ses doigts qui fouillent mes lèvres…

Je me sens impuissante. J'ai envie de leur queue, là maintenant. Je suis à cran. J'ai la tête qui s'agite dans tous les sens. Ce n'est pas possible; Je vais devenir folle. Le mécano d'en bas a placé sa tête entre mes jambes. Je sens sa langue qui me fouille, qui me lèche, qui prend possession de mon sexe, sa bouche qui me boit, qui m'aspire.
L'autre mécano a défait sa cotte. Je sens son sexe qui s'appuie derrière mon dos.
Il me parait immense. Je recommence à paniquer.
Il me force à me plaquer sur le capot de la voiture. Je suis écartelée, impudique, indécente, vulnérable … Je sens ses mains qui me palpent, qui malaxent mon cul. Mon corps est presque totalement couvert de graisse…

Et puis, il se positionne pour glisser son gland dans ma chatte détrempée. Je suis surprise de la facilité avec laquelle il me pénètre. En revanche, j'ai l'impression que son sexe va me perforer. Il semble mince, mais long…

Je suis plaquée sur le capot. Mon visage est à quelques centimètres du sexe de Jeff, mais que je ne peux atteindre à cause de cette maudite vitre.
Mon mécano me laboure brutalement et jouit très vite. Je sens son sperme qui gicle violemment tout au fond de mon vagin.
Il se retire aussitôt pour laisser à la place à son compère qui me présente son sexe à sucer. Lui aussi est très beau. Il a le même tain mat. Il est aussi musclé que l'autre.
Son sexe est également long et fin. Facile à prendre en bouche, en revanche difficile à avaler. Impossible à avaler, oui !!!

Il me présentait fièrement son sexe, comme un sceptre. C’est difficile à expliquer mais dans l’état d’excitation où je me trouvais c’était comme si je découvrais pour la première fois un sexe d’homme. C’était moins l’idée d’avoir ce sexe en moi que celle de le toucher, de le humer, de le sucer et de le découvrir qui m’excitait. Je le branlais lentement pour bien sentir sa chaleur et sa douceur. Sa queue palpitait sous le mouvement de mes doigts. Comme une jeune fille qui touche pour la première fois un sexe d’homme j’étais curieuse de connaître les secrets cette belle colonne de chair.

Je ne me lassais pas de la toucher je la mettais contre ma peau, je la frottais contre mon cou, mes épaules, mon bras, mes seins et mon visage. Je l’embrassais fougueusement en la prenant entre mes lèvres et je la léchais sur toute sa longueur, puis je la frottais encore et encore contre mon corps, contre chaque centimètre de ma peau. Il gémissait fort et se baissait sans cesse pour palper mes seins. Je n’avais jamais connu un tel plaisir et un tel degré d’excitation. Tout était cérébral, tout était dans la situation, mon fantasme du mécano, l’odeur de la graisse qui me couvrait le corps. L’idée de lui procurer du plaisir, de l’entendre et sentir jouir me tournait la tête comme si j’étais ivre. Je ne pensais qu’à ça, qu’à le faire jouir.

Ce n'était sans compter avec l'autre partenaire qui était de nouveau prêt à reprendre du service. Il me fit tourner vers lui pour me présenter aussi fièrement son sexe à lui qui réclamait la même attention !!!
L'autre mécano ne se laissa pas abattre par la situation. Il se positionna derrière moi et me pénétra d'un coup sec. Cette fois-ci ce fut plus facile, l'élasticité de mon vagin avait été déjà testée avec succès. Il s'agrippa à mes hanches pour me bourrer…

Pendant ce temps, j'avoue avoir oublié Jeff, car le beau pieu que j'avais devant ma bouche réclamait beaucoup d'attention. Son odeur était différente… Un mélange de sperme, de ma cyprine et de graisse. Des sensations magiques que j'avais malgré tout des difficultés à apprécier à leur juste valeur à cause des coups de butoir qui me rendaient folle…

Je sentis mon coquin qui ralentissait sa cadence. Ce bref répit me permit de me recentrer sur le pieu de chair qui palpitait devant mon visage.
Accalmie de courte durée, car je sentis que le diable avait une idée derrière la tête. Je le sentis placer une sorte de crème sur ma rondelle pour me préparer mon petit anneau… Je sentis un doigt, puis deux et enfin trois qui m'avaient écartelés mon intimité. Ses mains m'écartant les fesses, ce furent ensuite ses 2 pouces qui testèrent l'élasticité de mon anneau secret.

Semblant convaincu par ses essais, je le sentis ressortir de mon vagin pour se positionner dans mon petit trou qui effectivement l'avala d'un coup. Cette attaque à laquelle je m'étais préparée me fut néanmoins douloureuse car même si son sexe était fin, sa longueur me semblait interminable. Une fois bien en place, il reprit ses assauts fougueux pour éjaculer très rapidement. Lui aussi me gicla violemment son sperme au fond de mes entrailles.
Je n'eus pas le temps de récupérer que l'autre mécano me retourna pour se payer également mon cul. Lui aussi s'enfonça violemment et me laboura comme un bûcheron pendant de longues minutes qui me parurent interminables. Je perdais pied.

Et l'autre qui revenait avec son sexe souillé pour que je lui redonne de la vigueur. Je n'en pouvais plus. Je crus demander grâce… Je tournai la tête pour regarder dans la direction de Jeff. Il semblait aux anges… Ah le salaud…
Le mécano semblait satisfait de mon travail. Il fait signe à son collègue qui me souleva comme une plume, toujours planté dans mon cul, les cuisses ouvertes.
Je le vis alors se placer face à moi et me pénétrer par devant.
Je basculai sur lui maintenant et les deux furieux me bourraient alternativement, l'un devant et l'autre derrière. J'avais mes orifices en feu. Je m'abandonnais. Je crus m'évanouir au moment où ils giclèrent de concert…
Ils se retirèrent satisfaits de leur jouissance et de la mienne !!
Je ne pouvais plus tenir debout.

J'étais à genoux face à eux. La tentation fut trop forte. Ils se rapprochèrent pour m'offrir à nouveau leur sexe à sucer. Ma bouche était douloureuse. J'avais des crampes à la mâchoire. Je m'appliquai malgré tout à les lécher à les renifler à les sucer, à récupérer les toutes dernières gouttes aux effluves mélangées issues de mes intestins, de mon sexe abondamment trempé et de leur semence…

Me voyant peiner, ils se mirent à se branler devant moi. Ces deux queues raides qui s'agitaient réactivèrent mon excitation. Je me surpris à me caresser la poitrine et le sexe, en étalant la graisse sur mon corps. En levant la tête, je surpris Jeff qui s'essuyait le sexe : il venait d'éjaculer. Combien de fois s'était-il masturbé ? Je me pris à sourire de tout cette jouissance que je donnais et que je recevais à la fois.

Mes 2 mécanos commençaient à se raidir. Leur jouissance semblait proche. Je ne savais que faire …

Ils décidèrent de concert d'éjaculer sur mon visage et de venir sur mes joues et ma bouche essuyer leur gland couvert de sperme. J'essayais de les gober alternativement pour les remercier du plaisir qu'ils m'avaient donné.
Puis, sur un geste de Jeff, ils disparurent…

Jeff vint vers moi avec une couverture qu'il me posa sur les épaules avant de m'aider à me lever et à me serrer contre lui.
"Éva, Éva, mon Évita… Tu as été merveilleuse. Tu es l'Amour incarné."
"Merci, Merci, pour tout ce que tu as fait."
"Je me suis masturbé 3 fois pendant cette heure magique…"
"Comment tes sens-tu ?"
Aucun mot ne sortis de ma bouche. J'étais épuisée. Mon corps tout entier semblait brisé.

Je ne lui retournais qu'un battement de cils pour lui signifier que j'étais OK.
Il me dirigea vers les sanitaires où je pus me doucher et me laver les cheveux. J'étais couverte de sperme et de graisse. Il m'attendit patiemment pendant ma longue toilette qui me permit de reprendre quelques forces.
A la fin de celle-ci, il m'essuya délicatement et totalement.

Et maintenant, me dis-je, comment je vais faire ? Je n'ai plus rien à me mettre : ma robe blanche que j'avais payé si cher était en vrac parterre comme un vulgaire torchon…

Alors que je me séchais tant bien que mal les cheveux, je vis Jeff qui souriait les mains derrière le dos.
"Tu ne crois pas qu'il te manque quelque chose ?" me dit-il d'un air canaille.
"Comptes-tu sortir ainsi ?"
"Quoi que cela te va si bien …"

Voyant mon air ébahi, il sortit de derrière son dos un paquet.
Dessus, un nom "KENZO".

Qu'avait-il encore inventé ?
J'ouvris le paquet et ce je découvris me fit bondir de joie : une robe en soie KENZO. Une robe colorée, magnifique comme aimerait me payer Paul, si il le pouvait.
Et elle était là, pour moi. Qu'ai-je fait pour mériter ça ? Il est fou !!!
Voyant ma surprise, et mon plaisir, Jeff ne put s'empêcher de glisser la robe sur moi. Une pure merveille. Au diable ma robe blanche..
Quel contraste de me voir habillée d'une robe KENZO dans ce lieu plutôt rustique…

Je ne pus m'empêcher de sauter au cou de Jeff qui m'embrassa à pleine bouche en me flattant les fesses… Je commençais à m'attacher à Jeff, si gentil avec moi…

« Au fait, Éva, je dois t’avouer que j’ai filmé la séquence avec les mécanos. J’ai pensé à Paul, ton mari. Tu crois que je peux lui envoyer les images ? Tu ne m’as pas dit qu’il était candauliste ? »

« Tu as bien fait Jeff. Il sera très content de recevoir ces souvenirs. Je te donnerai son adresse mail. J’aimerais également que tu passes nous voir un jour au mas. »

« Quand repars-tu ? » Ajoutais-je. En fait, j’ai pensé que nous pourrions peut-être redescendre ensemble sur Montpellier avec la mini si elle est rapidement terminée. Je ne sais pas si j’aurais le courage de conduire seule. Et puis, nous pourrions passer encore un petit moment tous les deux… »

Jeff était très tenté par ma proposition. Il allait voir si cela pouvait bien s’articuler. Il me tiendra au courant.

Alors que je m’inquiétais à la recherche d’un taxi, Jeff me proposa de me raccompagner au Lutécia pour que nous passions une nouvelle nuit ensemble.

J’étai épuisée, mais à l’idée de me retrouver dans un lit avec Jeff m’excita pleinement.

Pendant que Jeff finissait de régler quelques affaires avant de partir, je fis quelques selfies vêtue de ma robe Kenzo, puis m’installais confortablement dans un fauteuil pour récupérer et pour envoyer un message illustré à Paul pour lui raconter mon passage au garage et le prévenir qu’il recevrait des images de mon ami Jeff dont il devrait très bientôt faire connaissance chez nous.

Je dus m’assoupir quelques minutes. Je sentis une main sur ma cuisse. C’était Jeff qui venait m’annoncer qu’il avait terminé et que nous pouvions rentrer à l’hôtel.

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